Dans la rue des Rosiers, au coeur du Pletzl et de la culture ashkénaze à Paris, un air de cithare ukrainienne attire notre attention. L'artiste semble ignorer le monde autour de lui, il était probablement aveugle mais rien ne nous l'indiquait hormis un bémol dans cette délicate musique, son teeshirt d'Osaka est curieusement décalé.